Le romantisme d’abord le révolte : il démasque dans Gabrielle (1849) la fausseté de l’idéal romantique, le danger de la passion effrénée et souveraine.
C’était ou un type immuable fixé une fois pour toutes, ou un idéal dont le monde cherchait à se rapprocher.
Verlaine se sentait, en outre, attiré vers cette femme qui approche de l’idéal rêvé par lui.
L’homme n’a pu s’y tenir ; car on n’atteint l’idéal qu’un moment.