À certains jours de fêtes nationales, on étendait, sur de longues tables, des victimes humaines, qui, sous le couteau des sacrificateurs, « s’ouvraient en deux comme des grenades mûres ». […] Vouloir rapetisser la nature humaine, m’enlever, à moi, la suprême jouissance de la communion ! […] C’est presque aussi amusant que l’occupation qui consiste à épeler un visage humain. […] C’est tragique, vraiment douloureux, frissonnant de colère contenue, et tout imprégné d’humaine pitié. […] Crier en tête d’un journal que Balzac est désormais enfoncé et que la Comédie humaine n’est plus bonne qu’à envelopper des pains de sucre, c’est, je crois, s’exposer au sourire de M.
Sa poésie tient encore à la poésie parnassienne pour sa forme et son souci plastique, mais elle est pénétrée d’intentions nouvelles et plus humaines.
Il est donc de la nature de l’esprit humain de ne garder aucune mesure, quand il a commencé à s’écarter du vrai !
Cet Ecrivain étoit capable de très-bien développer les différens ressorts du cœur & de l’esprit humain.