Armand Renaud s’était « inspiré aux hautes sources étrangères », et avait « moissonné la passion en toute littérature et en tout pays ».
Enfin, en comparant ceci à ce qui fut écrit plus haut, j’aimerais à terminer par cette affirmation : Le rythme nous avertit de la vie en sa marche incessante vers le but ignoré ; l’harmonie, qui en procède, est le signe de notre Prédestination.
La Politique, la Guerre, les Loix, la Littérature, tout prend sous sa plume un caractere de dignité, d'aisance, de profondeur, qui donne la plus haute idée de ses lumieres, soit acquises, soit naturelles.
Il sait fort bien que le peu de bruit qui se fait autour de ses livres, ce ne sont pas ces livres qui le font, mais simplement les hautes questions de langue et de littérature qu’on juge à propos d’agiter à leur sujet.