Maintenant je suis chassé, et il ne me suffit plus d’être repris seulement par grâce. […] Quelles grâces, surtout ! […] Tamerlan semble ému un instant par cette grâce et cette douleur : « Quoi ! […] Jules Barbier, grâce, peut-être, à Mme Sarah Bernhardt. […] Ce conte bleu est d’une grâce accomplie.
Jean Appleton affectionne les idées générales. » C’est d’abord l’indice d’une âme poète, puis « le vague de l’expression communique à ses vers un flou délicieux, une grâce vaporeuse dont on se sent enveloppé comme d’une caresse ».
Ne fait-elle point passer devant nous les grâces des printemps disparus, des tendresses écoulées, des jeunesses évanouies ?
Toutes ses grâces, toutes ses vertus, toutes ses perfections y sont détaillées et célébrées par une imagination jamais à court, avec une merveilleuse abondance et une infinie variété.