Mais tournez-vous de grâce… Molière n’aurait pas dit la chose d’une manière plus comique.
Nous avons le droit de parler de saints français et de tradition catholique française, car la grâce ne détruit pas la nature, mais simplement la perfectionne en gardant ce qu’il y avait de bon dans l’individualité.
Il se rabat sur la grâce sentimentale, et, sur son plafond d’azur tendre, il peint des déesses pensives qui seraient mieux dans un album. […] Quel parc magnifique surpasse la grâce du pauvre pré où l’on s’est arrêté tout enfant pour cueillir des liserons et des boutons d’or ? […] Les plus hautes figures poétiques, comme les plus hautes formes vivantes, n’arrivent à la lumière que par grâce, et, pour ainsi dire, par accident. […] Un profil qui nous paraît rompu et refouillé à l’excès n’a que de la grâce et de la variété aux yeux de l’Hindou. […] « Vers l’an de grâce 1827, j’étais romantique.
Notre sacerdoce nous offre la même consolation ; car, à peine sommes-nous dévoués aux châtiments du péché, que la grâce siège au milieu de nous sous la figure du Messie. […] Renonçons à trouver l’unité dans ce chef-d’œuvre tout divin, que tant de grâce, lie variété, d’élévation et de génie mettent au-dessus de plus d’une règle classique. […] Conséquemment le traducteur n’a pas dédaigné de relever ce passage par les grâces de sa diction, qui vous peint avec soin le repas d’Énée et de son fils. […] « Qu’il a de grâce et d’énergie ! […] Nous trouverons probable que la beauté, les grâces des jeunes fils de Priam et d’Anchise, mutilées par le fer des plus terribles défenseurs de Ménélas, s’offrent sous la touchante image de Vénus blessée par la lance de Diomède.