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1107. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 190

Né avec de l’ardeur pour l’étude des Lettres, & formé par l’Abbé Desfontaines, il se seroit fait plus de réputation, si les devoirs de son état (il étoit Cheveau-Léger) lui eussent laissé plus de loisir pour cultiver son esprit & épurer son goût.

1108. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 294

Ses Ouvrages en prose pouvoient avoir quelque valeur, dans un temps où le raisonnement & le goût étoient si loin de leur perfection ; mais en qualité de Poëte, Beze est-il digne de figurer dans la belle édition des Auteurs classiques, imprimés chez Barbou ?

1109. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 520

On pourroit former un très-bon Recueil de son Journal, sous le titre d’Esprit de le Clerc ; il faudroit pour cela qu’un homme de goût se chargeât de ce travail.

1110. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » p. 402

Si M. le Duc de Nevers protégea la Phédre de Pradon contre celle de Racine, ce fut moins par défaut de goût, que pour complaire à Madame Deshoulieres, & à quelques autres Beaux-Esprits, qui, par leurs souplesses, avoient su l’intéresser dans leur querelle.

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