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836. (1882) Essais de critique et d’histoire (4e éd.)

Il dit aussi qu’il y a un grand concours de gens auprès de Nayler, lesquels, pour la plupart, s’agenouillent devant lui à la manière susdite. […] Or combien de gens ont étudié Aristophane ? […] Tous les gens des équipages le virent et ne s’en turent pas. » C’était la Régence avant la Régence. […] M. le duc d’Orléans, ayant fait Law contrôleur général, voulut consoler les gens de la cour. […] Sire, un tel a battu mes gens, ordonnez-lui de me faire réparation.

837. (1885) Les étapes d’un naturaliste : impressions et critiques pp. -302

Ces deux vices composent le Cultisme, c’est-à-dire la langue des gens de goût, langue que flagellaient énergiquement les sincères amis du beau. […] Homme à multiples faces, — comme la plupart des gens de valeur, — il est à la fois mathématicien, chimiste distingué et poète. […] ne parlons pas, s’il vous plaît, de ces gens-là, ils ont du talent à faire frémir dans leur cercueil les cendres de M.  […] Il est gens de lettres, ce qui est plus qu’être homme de lettres, — mieux que gens de lettres, il est président de la Société des Gens de lettres, et voilà, n’est-il pas vrai, un titre académique sans pareil ? […] Pour tous ces gens-là, — le curé et l’hidalgo comme les autres, — Madrid était une terre aussi inconnue, aussi lointaine que la Chine.

838. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXX » pp. 279-280

Quel que soit l’optimisme dont se piquent quelques gens d’esprit, ce qui nous semble à nous une vraie calamité publique de ce temps-ci, c’est la facilité avec laquelle les talents supérieurs eux-mêmes tournent au sophisme.

839. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Le Mouël, Eugène (1859-1934) »

Toute la Bretagne est là, la Bretagne des Bonnes Gens.

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