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712. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

Alors Épistémon commença son histoire au milieu d’un calme général et d’une curiosité attentive. […] Cette critique se compose d’idées particulières et d’idées générales. […] Mais elles auraient beau être toutes spirituelles, ce qui nous importe, ce qui nous intéresse vraiment, ce sont les idées générales. […] Mon esprit flottait dans le vague, des idées générales, et il m’était impossible de le fixer sur un point particulier. […] Quand la troupe de Molière donna Les Précieuses ridicules, la pièce fut jouée avec un applaudissement général, dit Ménage, et il est probable que les gens d’esprit de l’ancien hôtel Rambouillet applaudirent plus haut que tout le monde.

713. (1874) Premiers lundis. Tome I « [Préface] »

Il faut prévoir les objections et les critiques que font naître toujours des publications comme celle-ci : on ne manquera pas de trouver que nous en avons « trop mis », que nous ne nous sommes pas assez souvenu de l’esprit général de cet Avertissement, auquel nous avons pris en commençant une note justificative. […] La publication, que nous préparons après celle-ci, sera la Correspondance générale : deux appels précédents ont été entendus, et nous ont valu de précieux témoignages de confiance.

714. (1874) Premiers lundis. Tome II « E. Lerminier. Lettres philosophiques adressées à un Berlinois »

Peut-être, après avoir parcouru ces Lettres, pensera-t-on qu’elles se rattachent à des études commencées, à un dessein général que je demande au temps la permission de poursuivre. » Les Lettres Berlinoises sont un dernier travail critique, un relevé analytique et pittoresque de la situation générale de la France après juillet, un hardi règlement de compte avec les hommes et les choses du passé, un déblaiement, en un mot, de ces débris sous lesquels nous sommes un peu plus écrasés qu’il ne conviendrait à des vainqueurs.

715. (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « La Tolérance »

La Tolérance Discours prononcé au banquet de l’association générale des étudiants de paris le 7 juin 1894. […] C’est avec cette pensée et cet espoir (mêlé d’envie) que je bois affectueusement à l’Association générale des Étudiants de Paris.

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