Vous ne sauriez le dire, vous ne le saurez jamais ; l’impression générale est un mystère, et ce mystère s’appelle physionomie.
Il serait bon que tous les gens qui se cramponnent à la vérité microscopique et se croient des peintres vissent ce petit tableau, et qu’on leur insufflât dans l’oreille avec un cornet les petites réflexions que voici : ce tableau est très-bien, non parce que tout y est et que l’on peut compter les feuilles, mais parce qu’il rend en même temps le caractère général de la nature — parce qu’il exprime bien l’aspect vert cru d’un parc au bord de la Seine et de notre soleil froid ; bref, parce qu’il est fait avec une profonde naïveté — tandis que vous autres, vous êtes trop… artistes. — (Sic).
Pour faire juger cette poésie, dont nous avons ailleurs, dans une intention plus générale, détaché quelques fragments, nous ne pouvons hésiter que sur le choix.
Tel est le sens général de cette belle légende, revêtue des formes harmonieuses de l’allégorie. […] De vagues idées d’extermination passent dans son esprit : — massacrer les généraux, empoisonner le Sénat dans un grand festin, incendier Rome pour la seconde fois, lâcher la ménagerie du Cirque dans ses rues en flammes. — Inoffensive écume d’une rage impuissante, radotages d’une tyrannie tombée en enfance ! […] » dit un de ses généraux, lorsque la guerre, fatiguée de jouer avec lui, le frappa, pour en finir, d’une balle à la tempe. […] On y voit Alexandre VI présentant à saint Pierre l’évêque in partibus de Paphos, qu’il vient de nommer général de ses galères.