Paulin Paris, poursuivant ses utiles travaux sur la littérature française au moyen âge, nous a donné, après le roman de Berte aux grans piés, dont nous avons parlé en son temps, le Romancero français, ou Choix des chansons des anciens trouvères, que nous n’avons pas annoncé encore.
Il dota son royaume des institutions françaises, et gouverna avec une bienveillance, une modération qui lui concilièrent les cœurs. […] Et ici, franchissant les années pénibles, on n’a qu’à noter le bon sens avec lequel le roi Jérôme apprécia la situation que lui faisaient les événements de 1813 : « Roi par les victoires des Français, disait-il, je ne saurais l’être encore après leurs désastres. » Mais ce serait faire injure à sa mémoire que de louer la fidélité avec laquelle il s’exécuta, sans prêter un seul instant l’oreille aux fallacieuses promesses par lesquelles on essayait de le détacher.
Pérey, que tout ce qu’il y a eu d’élégance, d’héroïsme et de fierté dans cette ancienne noblesse française faisait partie de notre patrimoine à tous. […] Non, mais de Français pieux.
[Le Courrier français (1895).] […] Stuart Merrill ne s’est pas embarqué en vain, le jour qu’il voulut traverser les Atlantiques, pour venir courtiser la fière poésie française et lui planter une fleur dans les cheveux.