Jusqu’ici, donc, relativement obscur, son livre des Réveils lui aura-t-il été, pour la foule comme pour moi, un réveil et une aurore ?
Autrefois, tout ce qui se croyait une destinée littéraire dans le cerveau faisait sa tragédie, identiquement comme aujourd’hui on fait son roman ou son volume de contes, car le conte, c’est le roman en raccourci… Malheureusement, les popularités ne sont jamais bien longues, et l’amour des foules est mortel.
Et même les romans qui n’étaient pas, de sujet, nettement physiologiques, ne pouvaient se défendre de la physiologie, ils la rasaient en une foule de choses, et ils se teignaient d’elle, en passant !
Les panégyriques parurent en foule, et de son vivant et après sa mort.