/ 3385
584. (1914) En lisant Molière. L’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Elle réalise son rêve éternel qui est un pouvoir très fort, qui ne soit pas bête. […] est fort divertissante. […] Dans ce qu’a écrit Molière il y a de fort bonnes choses. […] Ce sont de fortes objections et les a-t-on assez faites à Diderot ! […] Tout cela est de fort bon sens et de très haute raison.

585. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 396

Quoique le style en soit fort négligé, ils ne laissent pas d’être fort recherchés.

586. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Casanove »

Les tableaux que Casanove a exposés dans ce Salon, sont fort inférieurs à ceux du Salon précédent. Le pouce de Loutherbourg y manque ; je veux dire cette manière de faire longue, pénible, forte et hardie qui consiste à placer des épaisseurs de couleurs sur d’autres qui semblent percer à travers, et qui leur servaient comme de réserves.

587. (1881) Études sur la littérature française moderne et contemporaine

Bientôt il se sent assez fort pour entrer en lutte avec le roi. […] Théodore de Banville l’a mise en idylles, vraiment fort ingénieuses et parfois même touchantes ; M.  […] “Ce sonnet, me dit-il, ne te paraît pas fort clair, n’est-ce pas ?” […] Ils se moquent fort de l’économie. […] La littérature française n’a rien d’une plus forte et plus lumineuse concision de style.

/ 3385