Il est le représentant, comme Frédéric Bataille chez nous, de ces natures naïves et fortes, nées parmi les pasteurs et les villageois, qui s’élèvent peu à peu par le travail et la méditation jusqu’aux plus hautes régions de la pensée, et à qui la poésie ouvre son domaine enchanté, trop souvent fermé aux heureux de ce monde… [La Revue bleue (17 août 1895).]
Voilà une bonne nouvelle qui vient fort à propos, puisque M.
Bouhier, [Jean] Président au Parlement de Dijon, sa partie, de l’Académie Françoise, né en 1673, mort en 1746, Homme Savant, fort zélé pour les Lettres, mais peu élégant dans son style.
Ce qui la rend plus estimable encore, c’est de ne s’être point laissé corrompre par le faux air du Bel-Esprit, ou le ton précieux de sentence, si fort en vogue aujourd’hui.