Freron, annoncent un Littérateur formé sur l’étude réfléchie des bons modeles, un Critique doué de l’esprit d’analyse, & d’une sagacité merveilleuse pour saisir les beautés & les défauts d’un Ouvrage ; un Ecrivain correct, zélé pour les vrais principes, & capable d’y ramener les esprits qui s’en écartent.
Tacite, Machiavel et Montesquieu ont formé une école dangereuse, en introduisant ces mots ambitieux, ces phrases sèches, ces tours prompts qui, sous une apparence de brièveté, touchent à l’obscur et au mauvais goût.
J’affirmais donc avec raison que les leçons répétées sur les sciences, sur les belles-lettres, et sur les arts, ne servaient pas moins à former les professeurs que les personnes à qui leurs observations sont communiquées. […] Que diriez-vous aujourd’hui d’une comédie formée sur ce modèle ? […] Il le désigne comme un des meilleurs modèles dont la lecture puisse former des écrivains et des orateurs. […] « Leurs trois talents ne formaient qu’un esprit « Dont le bel art réjouissait la France. […] Quelqu’un se veut former une idée de la comédie : il se rend d’abord compte de ses qualités ; car les règles qui s’y appliquent en dépendent immédiatement.
Le titre d’un chapitre : Et la poursuite continue… pourrait former le sous-titre du roman, jusqu’au moment où la poursuite se termine dans la communion des enfants. […] Les quatre héros de L’École des indifférents et de Simon le Pathétique forment un tout complet qui, d’être unique, demeurera plus exquis. […] Ensuite il nous présente un fidèle miroir de son époque, ou plutôt de l’idéal que se formait cette époque. […] Sa timidité s’emploie à ne pas oser rompre les liens que lui-même a formés, à reculer devant l’énergie brutale qui infligerait la souffrance à l’être aimé. […] Ce monde qui s’est formé autour d’une aveugle participe de l’aveuglement et du mensonge.