Ils attachaient cette action civile au domaine du fond qui dépend de la cité et dérive de la force pour ainsi dire centrale qui lui est propre.
C’est encore plein de rosée, et ça conserve tout son goût naturel, toute sa force et toute sa vie. » Christel le regardait d’un air joyeux. […] et qu’il retomba d’aplomb après ce tour de force ; et qu’au même instant Schoûltz, levant sa jambe droite, la fit passer, sans manquer la mesure, au-dessus de la tête de sa petite rousse, et que d’une voix rauque, en tournant comme un véritable possédé, il se mit à crier : « You !
Or, le principe de divergence des caractères appuierait cette supposition : car entre variétés proche-alliées, également armées d’un appareil électrique, celle qui eut l’appareil le plus fort dut facilement exterminer les autres ; tandis que des appareils d’égale force entre des formes rivales ne pouvaient être d’aucun avantage à l’une aux dépens des autres ; par conséquent, devenant sans importance, ils devaient tendre à s’atrophier. […] Par suite de la division du travail physiologique, la faculté électrique a dû se localiser d’une manière quelconque, d’abord dans chaque individu ; plus tard, en vertu des deux principes de divergence des caractères et de sélection naturelle, cette faculté a dû devenir spéciale à certaines espèces, de moins en moins nombreuses, mais en se perfectionnant toujours de manière à ne se perpétuer que chez celles où elle avait atteint le plus haut degré possible de force et de perfection, tandis qu’elle s’atrophiait de plus en plus chez les autres : à peu près aussi comme les espèces ailées, aujourd’hui vivantes, sont admirablement appropriées pour le vol, ou, comme les Coléoptères de Madère, renoncent complétement à l’usage de leurs ailes pour éviter les dangers qu’ils courent à en faire usage.
Si toutes les forces qui animaient chacune des molécules qui formait celui qui nous a envelopés étaient données, un géomètre vous démontrerait que celle qui est engagée entre votre œil et sa paupière est précisément à sa place. […] J’ai vu un autre matelot entraîner après lui sa femme qu’il avait ceinte d’un câble par le milieu du corps, ce même câble fesait plusieurs tours sur un de ses bras, il nageait, ses forces commençaient à défaillir ; sa femme le conjurait de se sauver et de la laisser périr.