Le snobisme littéraire des filles de Gorgibus se complique d’ailleurs du snobisme mondain et de celui de la toilette, ou plutôt s’y confond ; car c’est du même esprit qu’elles jugent les vers de Mascarille et ses canons ou sa petite oie.
* * * Et cependant, telle humble femme du peuple donne non seulement le peu de pauvre argent qu’elle gagne à la sueur de son front, mais tout son temps, et toutes ses forces, et tout son cœur, bref, se « sacrifie » à des enfants abandonnés, à des filles sans asile, à des malades, à des vieillards.
Mais l’Autopsie de la vieille fille, malgré une faute de ton, mais Calvaire immémorial, mais l’Âme saisissable, sont des chefs-d’œuvre.
Il nous semble qu’il y a quelque enchantement pour les Muses à voir le peuple le plus spirituel et le plus brave consacré par la religion à la Fille de la simplicité et de la paix.