Les femmes lisent pour sentir. […] Il remit la femme et le trépied à deux anses à ses magnanimes compagnons, et lui-même détela les chevaux. […] Vous dites, par exemple, que la femme a les yeux brillants. […] On entendait les lamentations des femmes, les gémissements prolongés des petits enfants, les cris des hommes. […] Mais ce travail, les femmes en sont généralement incapables, pour la raison que j’ai dite.

Imprudente, la femme qui ose réveiller ainsi les puissances jalouses qui défendent aux mortels d’être heureux. […] faible femme, orgueilleuse, insensée,     Malgré toi tu t’en souviendras ! […] Le poète qui veut fuir la vie, pour rêver avec Eva dans la Maison du berger, commence par énumérer les contradictions qui se trouvent dans un cœur de femme. […] On voit sur le pont une femme fantôme et sa compagne, qui est la Mort. Les deux femmes jouent aux dés : la Mort gagne.

Et, à la vérité, Molière l’avait bien dit dans sa Critique de l’École des Femmes, Racine dans ses Préfaces, Boileau lui-même dans son Art poétique. […] En dépit de Mme Dacier, les femmes sont toujours du côté des modernes ; et parmi vingt raisons qu’on en pourrait donner, celle-ci en est une : que les femmes n’ont que peu de place dans les littératures de l’antiquité. […] Selon une femme de génie qui, la première, a prononcé le mot de littérature romantique en France, cette division se rapporte aux deux grandes ères du monde, celle qui a précédé l’établissement du christianisme et celle qui l’a suivi. […] quelle femme ? […] Ou bien encore, celui-ci, comme Boileau, a peu aimé les femmes, et celui-là, comme Rousseau, longtemps ou toujours malade, a fini par mourir fou ?

Mercadier, a eus de sa femme, une fervente de Fourvières, tandis qu’il est, lui, un indifférent aux choses religieuses, très voisin de pactiser avec les anticléricaux de la ville. […] Théophile Gautier, dans sa préface aux Fleurs du Mal, a nommé la femme qui a servi de modèle au peintre. […] Déjà le duc d’Aumale écartait ce nom des Trois Grâces et les remplaçait par cet autre les Trois Ages de la Femme, chacune tenant une boule qui figure le monde, « ce qui signifie », disait-il aux dames, « qu’à tout âge la femme tient l’empire du monde. » Une autre hypothèse, que M.  […] On l’a intitulé jusqu’ici : le Songe du Chevalier, parce qu’il représente un chevalier endormi entre deux figures de femmes, debout, dont l’une serait la Vertu et l’autre le Vice. […] Sa femme l’accompagnait.