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416. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 349-350

Il a d'ailleurs l'attention de citer à la marge les sources où il a puisé, attention indispensable à tout Ecrivain convaincu qu'en fait d'Histoire il vaut mieux ne rien hasarder, que de savoir revêtir ses fausses conjectures des agrémens du style.

417. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Le Bel » p. 171

Dans l’un de ces paysages, ce sont des femmes qui lavent à la rivière ; sur le fond les arbres sont assez bien touchés, assez bien du moins par rapport au reste, car la misère générale d’une composition en relève quelquefois un coin, et lui donne un faux air d’excellence, cela est bon là, ailleurs ce serait mauvais.

418. (1856) À travers la critique. Figaro pp. 4-2

Paul de Saint-Victor est un écrivain excessivement remarquable dans un genre faux. […] Permettez-moi de faire en terminant un crayon qui ne saurait être, en attendant l’arrivée de l’original, qu’un simple portrait de fantaisie, — celui du critique faux bonhomme. […] Berlioz de choisir assez mal son temps pour faire une fugue en Allemagne, il faudra que le journal le plus justement accrédité de Paris fausse compagnie au chef-d’œuvre ressuscité ? […] L’auteur, dit-il, « a empâté sa toile avec exagération ; les tons me semblent faux ». […] mon cher monsieur Viennet, l’image est fausse, puisque les rayons accouplés forment saillie.

419. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 220-221

Les fausses Infidélités donnoient les plus grandes espérances ; on y trouve de la gaieté, de l’esprit dans les détails, de la facilité dans le dialogue, quelques scènes d’un bon comique de situation.

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