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1305. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « M. Matter. Swedenborg » pp. 265-280

Sur tous ces points, je crois l’érudition épuisée, mais je demande maintenant le juge suprême, l’homme du dernier mot, qui débarbouillera de sa fausse lumière ou de son ombre cette personnalité éclatante quoique équivoque, et équivoque quoique éclatante, qui fait dans l’histoire l’effet d’une mystification, ou qui, du moins, en donne l’inquiétude.

1306. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « MM. Delondre et Caro. Feuchtersleben et ses critiques. — L’Hygiène de l’âme » pp. 329-343

Vous pouvez présenter aux yeux qu’offenserait une philosophie trop vive toutes les facettes ternes de ce bijou très faux et cependant en faire jouer aux yeux dont vous êtes plus sûr l’étincelle hégelienne qui y est cachée, car cette étincelle, si petite qu’elle soit, elle y est !

1307. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « A. P. Floquet »

Ni la lecture des œuvres de Bossuet, ni ses lettres, ni ses Élévations, ni ses écrits mystiques, ni cent passages de ses sermons, n’ont pu modifier ce jugement faux, coulé en plomb dans le moule à bêtises de la tête des sots, lequel jugement vient de la gloire de Bossuet et de l’éclat extérieur de sa vie, mais qu’une autre partie de cette vie pourrait réfuter, comme ses œuvres, si l’on prenait la peine de l’invoquer !

1308. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Victor Cousin »

Faux comme il s’en est vanté ou sincère.

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