L’expérience historique nous prouve que l’idée spiritualiste est susceptible de prendre les formes les plus différentes, de se concilier avec les points de vue les plus variés.
C’est parce qu’on a senti par les réflexions, et connu par l’expérience, la distance énorme du médiocre à l’excellent, qu’on ne peut plus souffrir le médiocre.
Nous devons apporter toute notre attention à éviter de nouveaux regrets pour l’avenir ; il faut au moins tirer ce fruit de la funeste expérience que nous avons faite.
Ainsi il nous restait à acquérir une dernière preuve de notre misère, celle d’établir, par l’expérience des plus déplorables événements, combien les peintures imaginaires nous troublent plus que les tableaux réels.