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938. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Correspondance de Voltaire avec la duchesse de Saxe-Golha et autres lettres de lui inédites, publiées par MM. Évariste, Bavoux et Alphonse François. Œuvres et correspondance inédites de J-J. Rousseau, publiées par M. G. Streckeisen-Moultou. — I » pp. 219-230

Son siècle y prêtait, et il ne manque pas de le prendre à témoin pour toutes les contradictions qu’il rassemble : Regardez cet univers, mon aimable amie, jetez les yeux sur ce théâtre d’erreurs et de misères qui nous fait, en le contemplant, déplorer le triste destin de l’homme !

939. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Appendice — II. Sur la traduction de Lucrèce, par M. de Pongerville »

Voilà comment nous nous expliquions Lucrèce ; et s’il y avait dans ce jugement quelque erreur, elle ne provenait pas du moins d’animosité ni d’injustice.

940. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Victor Hugo — Victor Hugo, romans (1832) »

Le bon philosophe éclectique et sceptique porte les vérités, les manies, le bon sens, les ridicules, la science et l’erreur, pêle-mêle dans sa besace, tantôt d’un air piètre, tantôt se rengorgeant, tout comme Panurge et Sancho.

941. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « JULES LEFÈVRE. Confidences, poésies, 1833. » pp. 249-261

J’attribue, sauf erreur, à cette habitude d’esprit, une partie des défauts de M.

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