. — Les erreurs de M. de Gourmont. — Invente-t-on les descriptions ?
Lorsque l’opinion s’est égarée dans une fausse route il faut l’éclairer ; mais si vous avez fléchi devant cette erreur passagère, comment réparerez-vous le mal que vous aurez fait ?
Thiers, qui prend, voyez l’erreur !
C’était une erreur, je le reconnais, d’avoir, pour mieux les analyser et mieux les goûter, l’un après l’autre, mis à part l’épouse et le bas-bleu, même par abstraction et pour une minute, et séparé ce que Dieu a si bien joint… et le ridicule aussi !