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1372. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXII. Des panégyriques latins de Théodose ; d’Ausone, panégyriste de Gratien. »

Nous venons d’en voir un d’un orateur gaulois ; un autre Gaulois, né à Bordeaux, et disciple d’Ausone, qui à vingt-quatre ans commença par être consul, et qui, après avoir occupé au Capitole la place des Fabius et des Émile, entra dans l’église, fut prêtre, ensuite évêque, et obtint, après sa mort, l’apothéose que la religion accorde aux vertus.

1373. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre cinquième. Retour des mêmes révolutions lorsque les sociétés détruites se relèvent de leurs ruines — Chapitre IV. Conclusion. — D’une république éternelle fondée dans la nature par la providence divine, et qui est la meilleure possible dans chacune de ses formes diverses » pp. 376-387

Ils voulurent donc entrer aussi dans l’ordre des citoyens.

1374. (1906) L’anticléricalisme pp. 2-381

entrait dans les esprits et dans les mœurs, le qui sait ? […] Mais les journalistes et les historiens du parti sont entrés dans le détail de cette considération et l’ont exposée minutieusement. […] Mais l’Italie ne voulait entrer dans cette triple alliance que si on lui laissait Rome. […] L’Italie, possesseur de Rome, qu’a-t-elle à gagner à entrer en guerre contre la Prusse en notre faveur ? […] Pour la première fois, il laissa entrevoir la séparation comme pouvant entrer dans les prévisions des hommes politiques.

1375. (1902) La politique comparée de Montesquieu, Rousseau et Voltaire

Le plus humble peut avoir le souci de se distinguer et d’entrer dans une de ces castes dont l’honneur est le ressort. […] Il ne doit entrer dans le gouvernement que pour choisir ses représentants, ce qui est très à sa portée. […] Mais c’est où Voltaire n’entre pas, parce qu’il n’y veut point entrer. […] Il a plus d’une fois indiqué d’un mot bref cette conception ; mais jamais il ne l’a développée ; jamais il n’est entré, à cet égard, dans aucun détail. […] D’autre part, et c’est ce qu’a bien vu Rousseau, le christianisme apportait quelque chose de décidément nouveau, et, au point de vue de la cité antique, quelque chose de monstrueux, quelque chose qui « ne pouvait pas entrer dans la tête des païens ».

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