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1777. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 230-231

L’Abbé de Marolles entendoit très-bien la Langue de ses Originaux, mérite qui n’est pas toujours le partage de nos Faiseurs de Traductions.

1778. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 403-404

Son nom doit rappeler à tous ceux qui l’ont lu ou entendu, l’idée d’un des plus habiles Orateurs qui aient illustré la Chaire.

1779. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — O. — article » pp. 427-428

Il entendoit bien le Grec & le Latin, & connoissoit parfaitement sa Langue ; mais ceux qui le regardent comme un de nos meilleurs Traducteurs, font consister, sans doute, l’art de traduire dans la seule fidélité à rendre le texte de l’Original.

1780. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Fragonard » p. 280

Cela est faible, mou, jaunâtre, teintes variées, passages bien entendus, mais point de vigueur.

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