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1638. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Jean-Jacques Ampère »

L’établissement du second empire mit, on doit le dire, Ampère hors de lui ; qu’on l’en loue ou qu’on l’en blâme, il n’y a pas un autre mot pour rendre la disposition morale dans laquelle il entra désormais.

1639. (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1865 » pp. 239-332

N’est-ce pas là vraiment, un charmant trait d’esprit pour un surintendant des beaux-arts de l’Empire.

1640. (1904) Le collier des jours. Souvenirs de ma vie

Le père Rigolet, le vieux canonnier de l’Empire, avait là son quartier général. […] On avait réuni là les meilleurs restes de l’ancienne aisance : de gros meubles de style Empire, tous de l’acajou le plus foncé, des rideaux de lampas, d’un rouge presque noir, des coussins à bandes de tapisserie, la précieuse garniture de cheminée, lapis et or, et toutes les épaves où s’attachaient des souvenirs.

1641. (1887) George Sand

Elle écrivait alors, comme elle le dit, sous l’empire d’une émotion, non d’un système. […] « Comment le prince Karoll, cet homme si beau, si jeune, si chaste, si pieux, si poétique, si fervent et si recherché dans toutes ses pensées, dans toutes ses affections, dans toute sa conduite, tomba-t-il, inopinément et sans combat, sous l’empire d’une femme usée par tant de passions, désabusée de tant de choses, sceptique et rebelle à l’égard de celles qu’il respectait le plus, crédule jusqu’au fanatisme à l’égard de celles qu’il avait toujours niées, et qu’il devait nier toujours ? 

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