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1006. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Histoire de la Restauration, par M. Louis de Viel-Castel » pp. 355-368

Étonnez-vous après cela que le chêne de saint Louis, arrosé et rebaptisé de la sorte par l’eau de la Tamise, n’ait pu reverdir !

1007. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ALFRED DE MUSSET (La Confession d’un Enfant du siècle.) » pp. 202-217

Laissons au fond des eaux ou du moins n’étalons pas le noyé livide ; la nature épure et blanchit les ossements.

1008. (1874) Premiers lundis. Tome II « Hippolyte Fortoul. Grandeur de la vie privée. »

Mais le limpide miroir des eaux a été répandu sur le globe pour qu’il pût y contempler sa face radieuse et jouir ainsi de lui-même » il se rappelle involontairement et nous rappelle les strophes de l’Adieu à la Mer, qui nous ont tant bercés : Le Dieu qui décora le monde De ton élément gracieux.

1009. (1861) La Fontaine et ses fables « Première partie — Chapitre III. L’écrivain »

A son avis, la nature va au plaisir, ainsi que l’eau à la rivière ; elle y va (ce n’est pas moi qui parle), quelles que soient les digues, religion ou mariage.

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