j’en ai fini avec les petites (et grosses) infamies qui, de régions prétendues uniquement littéraires, s’insinueraient dans la vie privée pour s’y installer ; et veuillez, lecteur, me permettre de m’étendre un peu, maintenant qu’on a brûlé quelque sucre, sur le pur plaisir intellectuel de vous parler du présent ouvrage qu’on peut ne pas aimer, ni même admirer, mais qui a droit à tout respect en tout consciencieux examen ? […] C’était son droit, mais m’est avis qu’il ne l’eût pas revendiqué et encore moins voulu vingt ans plutôt. […] Le nouveau chef-d’œuvre de Victor Hugo s’ouvre par une merveilleuse vision d’un avenir selon le Droit et le Devoir, ces deux solidarités inséparables en bonne logique et en bonne morale. […] — Et, d’autre part, le peintre, le sculpteur, non moins que le musicien, ont le droit, contestable, mais absolu, de répudier cette solidarité entre leur art et le nôtre, à titre, dame ! […] Puis aux résignations comme divines et qu’il voit encore telle l’investit et lui dicta de nombreux poèmes mystiques, du plus pur catholicisme, comme ceci qui data toute une ère nouvelle, dans sa poésie et peut passer pour divin de sa vie pendant d’assez longues années ensuite desquelles, comme cela devait arriver, l’humanité trop tendue reprit ou crut reprendre quelque peu ses droits ou ses prétendus droits, d’où une série des volumes : Chansons pour Elle, Odes en son honneur, etc., où étaient célébrées des affections nouvelles sur des rhythmes appropriés.
Mais peu importe que les fronts bas et étroits, les yeux inertes, les faces grossières aient leur moment et qu’ils aient par suite le droit momentané de la vanité et de l’insolence ! […] Est-il difficile, quand on a le sens droit et qu’on a observé quelquefois, de prédire les relations de deux hommes lorsqu’on en connaît parfaitement le caractère et la condition ? […] Et il agit ainsi de plein droit ; car si les lois de l’esprit humain n’étaient pas en même temps les lois du monde ; si la raison entière était soumise à l’expérience, il n’y aurait plus d’expérience possible. […] Ce roman est un de ceux qui rappellent le dessin linéaire, tant il est fait au compas, avec minutie ; calculé, travaillé, tout à angles droits, et en définitive sec et aride. […] ces étudiants se moquent de nous.Que j’en ai vu de ces bossus qui trouvent les gens droits contrefaits !
Pour peu que les évêques et leurs journaux consentissent à se taire, ils ne manqueraient pas d’avocats pour plaider leur cause et même leur droit.
Le journal la Presse et un journal des tribunaux, le Droit, viennent, dit-on, de faire marché avec le chemin de fer d’Orléans pour recevoir par un convoi à part des nouvelles du procès Lacoste qui va se débattre dans le Midi : madame Lacoste est, comme madame Lafarge, une jeune femme qu’on accuse, d’avoir empoisonné son vieux mari.