/ 1439
937. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278

Sa tante de Villette la retira une seconde fois chez elle, et la ramena au culte protestant, moins, il est vrai, par l’enseignement de sa doctrine que par l’exemple de ses vertus et de sa piété.

938. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXVI. La sœur Emmerich »

nous l’honorons spécialement dans la sœur Emmerich, qui est une sainte à grâces spéciales, dans la sainteté même, une sainte à visions…, et ce mot-là est pur d’ironie, puisque nous sommes chrétien et que sur cette question de visions comme sur celle de miracles, nous n’avons pas d’autres doctrines que celles de l’Église romaine.

939. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XV. M. Dargaud » pp. 323-339

C’était affaire aux princes qui les employaient, et qu’importent même ces princes, qui s’appellent Philippe II, Charles IX, Catherine de Médicis, Henri III, qu’importent-ils au catholicisme, cette grande doctrine, pure de tout ce qu’on a fait de mal pour elle ?

940. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « De Stendhal »

Plus que personne, Stendhal avait besoin qu’une grande et généreuse doctrine ajoutât à ses facultés et les étoffât.

/ 1439