Nous savons par cœur le Lac, cette divine plainte de ce qu’il y a de fugitif et de passager dans l’amour.
Ne diroit-on pas que, semblable aux Divinités d’Homere, il n’avoit une contenance divine que pour avaler l’encens de ces aveugles Adorateurs ?
s’il avoit vu la divine Martel, Il n’en auroit employé qu’une.
Pourquoi, découragé par vos divins tableaux, Ai-je, enfant paresseux, jeté là mes pinceaux Et pris pour vous fixer le crayon du poëte, Beaux rêves, obsesseurs de mon âme inquiète, Doux fantômes bercés dans les bras du désir, Formes que la parole en vain cherche à saisir ! […] Gautier quelques heureuses innovations métriques, par exemple l’importation de la terza rima, de ce rhythme de la Divine Comédie qui n’avait pas reparu dans notre poésie depuis le xvie siècle, et qui a droit d’y figurer par son caractère gravement approprié, surtout quand il s’agit de sujets toscans. — Tout à côté, on peut admirer à la loupe une fine miniature chinoise sur porcelaine de Japon.