Discours sur les prix de vertu Avant été nommé directeur, c’est-à-dire président de l’Académie française, pour le second trimestre de l’année 1865, je me suis vu chargé du Rapport public sur les prix de vertu ; de là le discours que je reproduis ici : Lu dans la séance publique annuelle de l’Académie française du 3 août 1865.

Les discours remarquables qu’il prononce de temps en temps à la Chambre laissent toujours un doute dans l’esprit : que veut-il en définitive ? […] Il en est passé quelque chose dans un discours qu’il prononça à la Chambre te 27 janvier 1848.

Canning, n’ont-ils pas amené dans leurs discours quelque magnifique citation de l’Énéide ou même des Géorgique. […] Lowe, dans un discours d’une prophétie mélancolique, trouvait moyen de citer naturellement le Non tibi Tyndaridis… 53 J’aimerais qu’un éditeur moderne de Virgile enregistrât au passage tous ces beaux et magnifiques emplois du poète.

Vous aurez peut-être peine à croire Qu’on ait dans un repas de tels discours tenus : On tint ces discours ; on fit plus, On fut au sermon après boire… Et cet autre jugement aussi, de Voltaire, n’est pas indifférent à rappeler ; Voltaire a très-bien parlé de Bayle en maint endroit, mais jamais mieux qu’à la fin d’une lettre au Père Tournemine (1735) : « M.