Le pauvre Labre, aussi pauvre après sa mort que durant sa vie, ne trouvera donc pas parmi les catholiques quelque poignet solide pour le débarrasser des benêts qui font un masque ignoble d’un visage digne de l’auréole !
», mais il l’imite sans en parler… Les dilettanti de l’impiété, qui ont des exigences, ont trouvé que ce n’était pas digne d’un des grands esprits du xixe siècle, — du siècle immense des Darwin et des Renan !
Autant qu’il est possible de comparer l’œuvre directement et immédiatement inspirée de Dieu à des œuvres simplement humaines, le commentaire est digne du texte.
Et les signaler d’autant plus que, ces faits, les Anglais ont déjà commencé de les reconnaître avec une bonne foi plus forte que les préjugés et une fermeté d’intelligence très digne d’une nation politique, qu’on nous permette le mot !