Que dirait-on d’un architecte qui ne sentirait aucune différence entre un grand palais dont tous les bâtiments seraient proportionnés pour former un tout dans le même dessein, et un amas confus de petits édifices, qui ne feraient point un vrai but, quoiqu’ils fussent les uns auprès des autres ?
Il y aura non seulement différence, mais parfois opposition complète des effets produits.
La raison de cette différence est que la littérature d’une nation est l’expression de ses mœurs.
D’où vient cette différence entre sa majesté léoparde et cette autre majesté ?