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999. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Armand Pommier » pp. 267-279

Celui de tous qui a le plus réussi dans cette découverte moderne, la physiologie appliquée aux choses de l’âme, que, très-grand spiritualiste, il a aussi et à degré égal !

1000. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Ch. Bataille et M. E. Rasetti » pp. 281-294

Bataille n’arrivera jamais, je l’espère, à ce degré de bestialité délirante qui doit être pour lui l’idéal.

1001. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « G.-A. Lawrence » pp. 353-366

S’ils n’ont pas cette moralité qui est le dernier degré de l’art et de la difficulté pour un romancier ou un poëte, car l’homme qui se cherche dans tout ne s’intéresse guère à ce qui est irréprochable, au moins leur idéalité est-elle à moitié chemin de cette moralité, presque impossible à introduire, dans un roman ou dans un poëme sans le plus rare et le plus incroyable génie, car Richardson lui-même, qui a créé Lovelace, a raté Grandisson !

1002. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Ernest Feydeau »

En ses premiers livres, où la description abondait, où il y avait bien des surcharges de détail, bien des puérilités de pointillé, il se préoccupait infiniment d’un certain genre de pittoresque, plus ou moins heureux, qui était sa manière à lui ; mais, à présent, il ne s’en préoccupe plus au même degré ; il se contente de l’exactitude.

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