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1207. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Le buste de l’abbé Prévost. » pp. 122-139

Le voile qui couvrait le buste tomba ; la figure tout d’un coup se découvrit.

1208. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Sénac de Meilhan. — I. » pp. 91-108

. — Un autre chapitre, jeté dans le même moule, et à la Montesquieu, est encore celui où l’auteur semble prophétiser sur l’Amérique : « Si l’on découvrait une vaste contrée dont le sol neuf et fertile n’attendît que les plus légers travaux, etc. » Les derniers chapitres du livre, ceux surtout qui ont été ajoutés dans la seconde édition, en 1789, à la veille des États généraux, contiennent des idées d’avenir, notamment sur la milice, sur le tirage au sort de tous les citoyens.

1209. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Le président Jeannin. — III. (Fin.) » pp. 162-179

Quoi qu’il en soit, Henri IV espérait faire découvrir le passage et avoir l’honneur de donner son nom à cet autre détroit qui serait le pendant de celui de Magellan.

1210. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « La Divine Comédie de Dante. traduite par M. Mesnard, premier vice-président du Sénat et président à la Cour de cassation. » pp. 198-214

Il avait déjà dit, dans ses Lettres sur les Anglais, qu’on ne lisait plus Dante en Europe « parce que tout y était allusion à des faits ignorés : il en est de même d’Hudibras. » Mais dans une lettre adressée au Père Bettinelli, auteur des Lettres Virgiliennes, où Dante était traité assez lestement, Voltaire se découvrait encore davantage (mars 1761) : Je fais grand cas, écrivait Voltaire à ce littérateur italien, du courage avec lequel vous avez osé dire que le Dante était un fou, et son ouvrage un monstre.

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