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1238. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Marie Stuart, par M. Mignet. (2 vol. in-8º. — Paulin, 1851.) » pp. 409-426

Du moment d’ailleurs que Marie Stuart est prisonnière, qu’on la voit accablée, privée de tout ce qui console, infirme, hélas ! […] Que reprocher d’ailleurs à celle qui, après dix-neuf ans de supplice et de torture morale, dans la nuit qui précéda sa mort, chercha dans la vie des saints, que ses filles avaient coutume de lui lire tous les soirs, un grand coupable à qui Dieu eût pardonné ?

1239. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Les Gaietés champêtres, par M. Jules Janin. » pp. 23-39

Eugène, qui se sent d’ailleurs peu de goût pour la basoche, et qui ne connaît pas son père, nous a dès l’abord tout l’air d’être le fils de quelque grand seigneur qui a oublié de le reconnaître, et qui lui a légué de ses instincts. […] D’ailleurs, ces amoureux, qui s’en vont de Paris à Vincennes, ne laissent rien derrière eux qui les rappelle, pas un parent, pas un regret.

1240. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Le maréchal Marmont, duc de Raguse. — III. (Suite et fin.) » pp. 47-63

Beau d’ailleurs, remarquable de physionomie, de coup d’œil, de pâleur, de timbre et d’accent, et accusant visiblement aux yeux de tous le sang d’où il était sorti. […] L’homme d’ailleurs se montre toujours, et il y a même des moments où l’on entrevoit le peintre.

1241. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Ducis. » pp. 456-473

Ses parents, d’ailleurs, tenaient un modeste commerce de lingerie et de poterie. […] Entre Voltaire et Ducis il y avait, d’ailleurs, tous les contrastes.

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