Il a procédé en analyste et en critique. […] Elle recourt aux textes et elle en fait la critique soigneuse. […] Il devint un critique tel qu’il n’y en a pas d’autre. […] Quand il passa de la critique littéraire à la critique politique, on s’aperçut de ses projets ; et l’on se fâcha : il se fâcha lui-même. […] Son activité politique continua l’énergique initiative de sa critique littéraire ; pareillement, ses comédies raciniennes sont l’exemple d’un art dont sa critique est le précepte.
Rien de plus rare que la critique désintéressée et généreuse.
Cela m’étonne d’autant plus que je suis le premier à reconnaître chez l’auteur une réelle compétence sur la théorie critique du rythme et du vers.
L’ordre, la méthode, la précision & la clarté sont les qualités dominantes de cette Histoire : on y remarque aussi un esprit de critique & d’analyse, qui la distinguent avantageusement de tous les Ouvrages modernes de ce genre, si nous en exceptions celui de l’incomparable Abbé Fleuri.