Un succès formidable accueillait toujours le Cheval de fiacre, brisé de fatigue et de coups de fouet : Dont nous ferions un saint si Dieu l’avait fait homme. […] Prodigieux d’à-propos, d’anecdotes et de saillies, il rejoignait la hauteur méprisante de Moréas à l’encontre des mauvais poètes en se couvrant de détours et les culbutait non d’un coup sec, mais d’une décharge de bons mots, d’une mitraille de concetti.
Il s’appuye de celle de Henri IV, qui reçut la discipline sur les épaules, des cardinaux d’Ossat & du Perron ; formalité bien vaine, mais raison plus étrange encore pour vouloir qu’on admettre un usage quelquefois criminel & suggéré par la débauche ; un usage qui peut être remplacé par tant d’autres plus dignes d’un vrai pénitent ; un usage qui peut être remplacé par tant d’autre plus dignes d’un vrai pénitent ; un usage enfin que la religion ne prescrit pas, & qui rappelle ces prêtres de Baal, qui se déchiroient à coups de lancettes, ou ces insensés Brammins qui passent la plus grande partie de leur vie, nuds dans leurs cellules, occupés à s’enfoncer des clous dans les bras & dans les cuisses, en l’honneur de leur dieu Brama. […] Il fit contr’eux une épigramme, dans laquelle il assure que l’Histoire des flagellans condamne, non l’usage de la discipline, mais l’abus qu’on en peut faire Cette histoire, dit-il, laisse les plus grands pécheurs libres de se meurtrir de coups.
Tout à coup il éclate ; c’est une explosion d’injures toutes latines, d’injures insensées, extravagantes, comme les sanglots d’un homme en démence, qui ne sait ce qu’il dit. […] C’est de ces hauteurs que nous avons été précipités tout à coup par la guerre, et quelle guerre ! […] Il est malheureusement trop certain que, dans la vengeance, mille coups furieux ont été portés à l’aveugle. […] si c’était un empereur, un prince, une aristocratie qui eût fait le coup, quel débordement de poésie nous aurions eu ! […] Quel coup de pinceau pour rendre la rapidité de l’incendie !
Au reste, pourquoi devient-il tout à coup enragé ? […] Mais il me faut tout perdre, et toujours par vos coups. […] Un coup d’aile, et nous voici dans la clairière des fées. […] Et la bergère meurt d’amour tout à coup, en poussant un cri. […] Si on lui donnait un coup de fourche, il ne sortirait pas de sang.