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251. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — E. — article » p. 251

Tout le monde convient à présent que son Ouvrage intitulé l’Apologie d’Hérodote, n’est qu’un Recueil de grossiéretés, d’Anecdotes indécentes, d’Historiettes scandaleuses contre les Prêtres & les Moines, dont les trois quarts sont des mensonges que plusieurs Ecrivains n’ont pas craint de répéter.

252. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 457

C’est là qu’il faut apprendre à penser & à parler comme il convient sur la tolérance.

253. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 276

On convient généralement que son Panégyrique de Saint-Louis est un des meilleurs qui aient été prononcés à l'Académie Françoise.

254. (1767) Salon de 1767 « Dessin. Gravure — Moitte »

Duhamel à qui Maupertuis disait : convenez qu’excepté vous, tous les physiciens de l’académie ne sont que des sots, et qui répondait ingénuement à Maupertuis : je sais bien, monsieur, que la politesse excepte toujours celui à qui l’on parle. ce Duhamel a inventé une infinité de machines qui ne servent à rien, écrit et traduit une infinité de livres sur l’agriculture qu’on ne connaît plus ; fait toute sa vie des expériences dont on attend encore quelque résultat utile ; c’est un chien qui suit à vue le gibier que les chiens qui ont du nez font lever, qui le fait abandonner aux autres et qui ne le prend jamais.

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