Aussi convient-il de lui accorder confiance et de l’aider. […] Méthode excellente, et qui convient à cette époque-ci. […] Ceci est plus significatif : nous négligions de nous demander si elles nous convenaient, et même de nous demander si l’on pouvait logiquement les réunir. […] (Et il convenait que les sens, non seulement les plus intellectuels, la vue et l’ouïe, mais aussi les plus voluptueux, l’odorat, le toucher, le goût, fussent approchés de Cybèle immense et magnifique. […] Puis, ce Napoléon tout à coup s’attendrit sur lui-même, devient un rédempteur attentif à lui-même et, sur le point de quitter ses apôtres, leur dit : « Mes petits enfants, il convient que, même éloigné, je sois présent au fond de chacun de vos cœurs.
Cette remarque des honnêtes typographes, faite sans malice et à laquelle ils devaient une économie de travail, est la critique littéraire la plus sanglante du style de Planche, tout en formules pédantesques et algébriques, et du rabâchage le plus fastidieux : Nous sommes forcé de convenir ; — Il nous est impossible de ne pas déclarer ; — On ne saurait méconnaître, etc. […] je suis certain qu’il vous aurait plu singulièrement et que vous vous seriez convenus !
Par-dessous l’amateur du moyen âge, on découvre d’abord l’Écossais avisé, observateur attentif, dont la sagacité s’est aiguisée par le maniement de la procédure, bon homme d’ailleurs, accommodant et gai, comme il convient au caractère national, si différent du caractère anglais. « Bon Dieu, dit un de ses camarades d’excursions, quel fonds il avait de belle humeur et de plaisanteries ! […] Dépouillons-nous du langage convenu et de la diction poétique.
L’humour est le genre de talent qui peut amuser des Germains, des hommes du Nord ; il convient à leur esprit comme la bière et l’eau-de-vie à leur palais. […] Pour relier les petits fragments que nous pouvons atteindre, il faut le plus souvent supposer des causes ou employer des idées générales tellement vastes, qu’elles peuvent convenir à tous les faits ; il faut avoir recours à l’hypothèse ou à l’abstraction, inventer des explications arbitraires ou se perdre dans les explications vagues.