Manifeste éloquent, auquel il convient d’ajouter les illustrations ardentes de Charles Maurras, si l’on veut connaître toute l’esthétique de la jeune école romane. […] Mais le passé convient peu à une conversation animée. […] En aucune façon ; mais qu’il montre de même son respect pour le nom de mystique en le laissant à ceux auxquels il convient. […] Renan, j’ai péché, j’en conviens, et je ne le ferai plus, quoique… « Ah ! […] Charles Morice, Vignier et quelques autres étaient convenus de s’assembler régulièrement une fois par mois pour traiter des intérêts de la jeune école symboliste.
Et l’on convient que de Woëll épousera Léonie !!! […] Impossible de n’en pas convenir, M. […] une langue qui convient merveilleusement au peuple ardent qui la parle, au paysage éclatant qu’elle décrit. […] Le convenu ? […] Ce qu’on déclare justement aujourd’hui artificiel et convenu fut — presque toujours — le vrai, le naturel à son heure.
Il était convenu que, si Beaumarchais perdait son procès, tout ce qu’il donnait lui serait restitué, à l’exception des quinze louis, acquis, dans tous les cas, au secrétaire. […] C’est là le correctif qu’il convient d’ajouter à l’éloge des belles manières et du ton exquis de céans. […] Sully Prudhomme, lui, appartient à l’école des raffinés ; mais ce mot d’école convient mal ici, car il n’y a pas trace d’imitation dans son talent. […] disaient-ils avec raison ; est-ce bien lorsque l’ignorance et la légèreté de cette ville ont attiré sur elle les plus épouvantables catastrophes, qu’il convient de faire son apothéose et de la représenter comme le soleil inondant l’Europe de ses rayons ? […] Voilà les sujets qui conviennent par excellence au crayon de Doré.
Ce n’est point en cet objet que convient l’imaginaire et le général : on y veut le réel et le particulier. […] Le mélange des religions ne convient qu’à l’épopée comique. […] Ce temps, qui n’offre plus que l’unique opposition des croisés et des hérétiques, exclut sévèrement le mélange du paganisme dans la grave épopée qui le consacre : aussi ] convient-il au ton sérieux du Tasse, autant que l’âge antérieur convint aux caprices de l’Arioste et aux fictions de la Mérovéide, dont je fondai le sujet sur la bataille des champs catalauniques, afin de travestir le barbare héroïsme « Des rois moulés sur Attila. […] Le relief qu’en reçoivent les discours les distingue de ceux qui conviennent à la scène théâtrale, et pourtant ceux-là empruntent le naturel et le mouvement de ceux-ci. […] et la fureur ne convient-elle pas mieux à la main ?