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1707. (1887) Discours et conférences « Discours à l’Association des étudiants »

car la vie est devant eux. » Des deux parties du programme de la vie scolaire, travailler beaucoup, s’amuser beaucoup, je n’ai connu, à vrai dire, que la première. […] Vous verrez peut-être un temps où l’on en connaîtra des dizaines.

1708. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 29, si les poëtes tragiques sont obligez de se conformer à ce que la geographie, l’histoire et la chronologie nous apprennent positivement » pp. 243-254

Ce que je dis ne doit pas s’entendre des faits de peu d’importance, et consequemment peu connus. […] Ce Felix, si connu par Tacite et par Joseph, n’épousa jamais qu’une reine ou fille d’un sang roïal, qui fut Drusille.

1709. (1818) Essai sur les institutions sociales « Préface » pp. 5-12

Je ne connais rien du moins qui fasse mieux concevoir la succession inévitable de deux ordres de choses très divers qu’un ouvrage de la nature de celui-ci. […] Vico, que je ne connaissais point alors, n’a pas été arrêté par cet obstacle.

1710. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Les dîners littéraires »

Le fondateur des Dîners littéraires, à bon mot et à dix francs, n’est pas seulement un professeur d’hygiène intellectuelle aussi simple que cet ivrogne de Sheridan, qui disait : « Quand la pensée est lente à venir, un verre de bon vin la stimule, et quand elle est venue, un verre de vin la récompense », c’est un homme plus profond que cela : il connaît son temps et sait jouer du vice de son temps. […] Voilà ce qu’il importe, à nous critiques, de connaître !

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