Il paraît certain que le laboureur qui disposerait des saisons, aurait un grand avantage sur ceux qui sont obligés de les prendre comme elles viennent, et qu’il consentirait volontiers à laisser doubler ses baux à cette condition.
Qu’on nous permette de penser qu’il y a quelque chose de plus intéressant, de plus grave, de plus semblable à la condition humaine, dans un poème qui aboutit à l’infortune, que dans celui qui se termine au bonheur.
Chacun des personnages qui le regardent y paroît ému d’une compassion qui porte le caractere de l’âge et de la condition de celui qui la témoigne.
La plûpart étoient nez dans la condition d’esclave, et soumis par consequent dès l’enfance à faire un apprentissage aussi long et aussi rigoureux que leurs patrons le jugeoient à propos.