Nous voyons ici combien le droit antique, pour s’être conformé à la religion, a méconnu la nature. »15 On a cru devoir citer textuellement ce passage parce qu’il montre d’une façon frappante les compromis singuliers auxquels se voit entraînée une collectivité sociale pour concilier sa croyance actuelle avec les prescriptions d’une croyance morte qui a continué d’exercer son autorité dans l’idée abstraite et dans la loi. […] On voit donc par ces deux exemples, à côté desquels on en pourrait citer beaucoup d’autres que les Grecs et les Romains des premières périodes historiques appliquèrent à leur propre gouvernement des règles et des maximes instituées naguère en vue de satisfaire une croyance qui n’existait, plus dans leur âme et des intérêts qui n’étaient plus les leurs.
Leurs textes qu’il citerait, seraient les ornements de son livre. […] il faudrait tout citer de cette rhétorique en action) : « J’ai remarqué une chose de ces messieurs-là, c’est que ceux qui parlent le plus de règles et qui les savent mieux que les autres, font des comédies que personne ne trouve belles.
Je ne citerai que les Anecdotes ou Mémoires secrets sur la Constitution Unigenitus, en trois vol. […] Je ne vous citerai point les vies particuliéres d’un grand nombre de Saints ; le champ seroit trop vaste ; mais vous ne pouvez vous dispenser de lire les Vies de St.
À cela près de la page 206 (nous l’avons notée), qu’il faut couvrir avec tous les voiles de femmes que Michelet fait rougir et qui rappelle… l’Amour, on pourrait tout citer de la Femme et le dégoût serait assez heureux pour avoir sa preuve et son appui, mais la raison de cela n’est pas le livre, qui a trahi Michelet. […] Dans ses admirables pages sur Géricault, Michelet cite un mot de ce robuste, qui se débattait dans sa force pour trouver la grâce : « Quand je commence une femme, — disait-il, — cela finit toujours par un lion !