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955. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Gustave III »

Une circonstance qu’un historien qui sait la valeur de tout dans une pareille histoire ne peut oublier, c’est qu’à ce bal où il fut tué il parut d’abord à visage découvert, intrépide et incrédule comme César, comme le duc de Guise, comme tous les héros, — ayant dans sa poche aussi l’avertissement qu’il bravait, une lettre écrite par un des conjurés contre sa vie, — et qu’après s’être fait voir ainsi, il rentra chez lui, prit un domino et un masque, et revint pour mourir comme il avait vécu, en costume de fête et masqué !

956. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Madame de Maintenon » pp. 27-40

Et ce n’est pas tout : il nous montre aussi la solution éclatante de ce terrible problème de l’éducation que chaque époque pose et reprend à sa manière, et qui, grâce à une femme et à des circonstances inouïes, a été résolu une fois.

957. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Lettres d’une mère à son fils » pp. 157-170

De cette façon, ce livre n’aurait pas couru le risque d’être un après-coup perpétuel et de nous montrer la morale après l’événement, le principe après la circonstance, la loi le lendemain de l’épreuve, et l’exercice sur le champ de bataille.

958. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Abailard et Héloïse »

Grâce à cette circonstance individuelle, la publication de ces lettres n’aura pas l’effet que la Philosophie pouvait en attendre si un plus habile les avait traduites et interprétées avec un talent plus profond.

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