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1100. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Benjamin Constant »

Quand il sera trop tard, vous vous reprocherez peut-être, quelque soin que vous preniez d’étouffer votre vie sous de bonnes actions de détail, de n’avoir pas fait ce qu’il était si facile de faire pour sauver un ami tel que le ciel en donne rarement… Pourquoi avez-vous craint de m’attacher au bien que vous faites ?

1101. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Hoffmann »

II Rien de plus creux, en effet, que ce volume d’Hoffmann ou sur Hoffmann ; et la faute n’en est pas à Champfleury, qui a remué, comme on dit, le ciel et la terre, pour rendre son ouvrage digne de l’attention des curieux et pour augmenter une gloire déjà trop grande et qui ne pouvait plus que diminuer.

1102. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Byron »

La Grèce moderne, qui, malgré ses malheurs, ressemble tant à sa mère morte, imprimait sa sublime ressemblance dans le miroir de cette poésie, colorée et pure comme son ciel et ses mers.

1103. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « VII. Vera »

C’était, en d’autres termes, la prétention de hausser un peu la voûte du ciel pour nous faire plus de jour !

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