De ce nombre était Roumanille, d’Avignon, poète provençal d’un haut atticisme dans sa langue ; de ce nombre aussi était Adolphe Dumas, qui était né dans les ruines d’un couvent de chartreux, sous un rocher de la Durance, et qui en avait respiré l’ascétisme d’anachorète chrétien du temps de saint Jérôme.
Il mourut le plus honnête et le plus éloquent des hommes de parti, au lieu de vivre et de mourir le plus honnête et le plus éloquent des philosophes chrétiens.
Elle m’y exprimait, avec une vive et chrétienne affection, sa grande inquiétude de me voir, disait-elle, « dans un pays où il y avait tant de troubles, où l’exercice de la religion catholique n’était plus libre, où chacun ne cesse de trembler dans l’attente de nouveaux désordres et de calamités nouvelles. » Elle ne disait, hélas !
D’ici le jour voulu, ils écoutent, « en ce théâtre que tout homme a dans l’esprit », l’écho du prodigieux cantique que Wagner entonna, de ce vaste chant séculaire, regret des antiques jeunesses, aspiration vers la Patrie chrétienne.