. — Œuvres choisies. — Le diable à Paris […] Elle cherche le triste pour le triste, elle le choisit.
. — Œuvres choisies. — Le diable à Paris […] Je choisis, dans ces séries dernières et désenchantées, celle qui me paraît la plus facile, la plus directe et la mieux trouvée, la plus heureuse vraiment de ces contreparties, gaie encore et plaisante, sans rien d’odieux : les Invalides du sentiment.
Comme il sait choisir le pupitre, le tabouret, le papier de musique, le livre, la table, le chevalet ou le carton, selon la figure qu’il représente ! […] Il choisit précisément ce temps d’orage, qui lui laissait plus d’un loisir forcé, pour graver par contraste ses Émaux et Camées (1852), une poésie toute d’art et de délicate transfiguration.
Il me témoigne souvent, par des termes assez choisis, les sentiments respectueux et la reconnaissance qu’il a des bontés que Sa Majesté a pour lui. » Tant que l’ambassadeur Cadaval fut à Turin, le jeune duc semblait aller de mal en pis. […] Lui, si économe, il choisit l’instant où la guerre menace sa frontière découverte, pour faire, avec toute sa Cour, un voyage d’agrément à Nice.