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904. (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1881 » pp. 132-169

Il y avait en Russie une femme charmante, une femme dont le teint, sous des cheveux bouffants du blond le plus poussiéreux, était légèrement café au lait, et où les grains non fondus faisaient un tas de petits grains de beauté. […] Samedi 11 juin Ces dîners du samedi, chez de Nittis, sont vraiment charmants.

905. (1874) Premiers lundis. Tome I « Madame de Maintenon et la Princesse des Ursins — I »

Tous les tons de la prière sont essayés auprès d’elle, depuis la bouderie jusqu’à l’enjouement, témoin ce début de lettre, d’une insinuation charmante : « Il ne tient qu’à vous, madame, de m’apaiser et de m’empêcher de gronder ; que le roi ait la bonté de laisser en Espagne les vingt bataillons que sa majesté espagnole lui demande, nous serons contents.

906. (1874) Premiers lundis. Tome II « Charles de Bernard. Le nœud Gordien. — Gerfaut. »

La délicate et distinguée figure de Clémence se détache entre le roide et maigre personnage de sa vieille tante, mademoiselle Yolande de Corandeuil, et le frais visage, la gaieté étourdie de la sœur du baron, la charmante pensionnaire Aline.

907. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Première partie. Préparation générale — Chapitre VII. Éducation de la sensibilité »

La Fontaine, le plus abandonné des écrivains, travaillait durement ses vers charmants.

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