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1773. (1856) Cours familier de littérature. II « VIIe entretien » pp. 5-85

Cette charmante personne, devenue ainsi reine légitime de la Grande-Bretagne, avait consolé pendant quelques années le prétendant, son mari, de ses malheureuses expéditions en Écosse et de sa déchéance du trône sur le continent.

1774. (1857) Cours familier de littérature. III « XVIe entretien. Boileau » pp. 241-326

Cette satire n’est qu’une charmante et piquante plaisanterie, pleine de ce qu’on appelait alors le sel attique ou la sève grecque, sur les difficultés de la rime dans le mètre français.

1775. (1857) Cours familier de littérature. III « XVIIe entretien. Littérature italienne. Dante. » pp. 329-408

Je sais que j’ai une femme jeune et bien aimée, une charmante enfant, d’excellents frères, une seconde mère, beaucoup d’amis, une carrière honorable, des travaux conduits précisément au point où ils pouvaient servir de fondement à un ouvrage longtemps rêvé.

1776. (1856) Le réalisme : discussions esthétiques pp. 3-105

Deux bedeaux de village à trogne rouge, deux sacs à vin, serviront de thème à ces critiques frottés de littérature dont je vous parlais tout à l’heure ; opposez-leur, dans le même tableau, les charmants enfants, le groupe des femmes, les pleureuses, aussi belles dans leur douleur que toutes les Antigones de l’antiquité, il est impossible d’avoir raison. […] Qu’un musicien s’intéresse à un roman ou à un tableau, et voilà aussitôt son impression qui éveille en lui mille charmantes idées musicales.

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