» Et elles s’échappent en espiègleries énormes, comme de mettre de l’encre dans le bénitier, en sorte que les religieuses s’en barbouillent en venant chanter l’office de nuit.
La Ferinda vaut un peu mieux : c’est une comédie chantée, une sorte d’opéra-comique, dans lequel sept ou huit dialectes se livrent bataille : le mauvais allemand, le français corrompu, le patois vénitien, napolitain, génois, ferrarais, le langage pédantesque, sans compter un bègue qui ne peut, lui, parler aucune langue.
J’aurais mieux fait peut-être de me réjouir quand j’étais jeune et de chantera ma guise le Gaudeamus des clercs du moyen âge : Gaudeamus igitur, dum juvenes sumus ; Post jocundam juventutem, Post moleslam senectutem, Nos habebit humus.
J’ai chanté les héros, les bergers & les bois.